Dimanche 27 septembre, je suis allé voir Le grand jour au cinéma, car j'avais vu un autre film du même réalisateur, Sur le chemin de l'école, et j'avais trouvé son travail intéressant. Il montrait le trajet de quatre jeunes des quatre coins du monde qui allaient à l'école. Leurs parcours étaient semés d'embuches et duraient environ trois heures. Pascal Plisson essayait ainsi de faire réagir les spectateurs sur leur chance d'aller ou d'être allé à l'école.
Dans Le grand jour, on assiste au parcours de quatre jeunes qui s'apprêtent à vivre le « jour de leur vie ».
Nidhi (Inde) a un talent pour les mathématiques et veut intégrer une école supérieure.
Albert (Cuba) adore la boxe et doit faire un match décisif pour entrer dans une académie de sports.
Deegi (Mongolie) veut être contorsionniste professionnelle et passe une audition.
Et Tom (Ouganda) est passionné par les animaux et participe à un concours pour être ranger.
La caméra était toujours en mouvement ou alors faisait des plans fixes très rapides, mais il n'y avait pas de longues scènes statiques.
J'ai trouvé intéressant le fait que ce ne soit pas de vrais acteurs, mais bel et bien des gens qui vivaient vraiment cette aventure et ont accepté que des caméras les suivent dans cette expérience décisive ; de ce fait, il y avait quelques regards caméras par les figurants. En outre, cela rendait les personnages plus humain, plus touchant, et plus proches de nous.
Je recommande ce film car il est instructif et émouvant.
-Lauren Viguier, 2nde10
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