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Blog des élèves de cinéma du lycée Baudelaire de Cran-Gevrier


JOKER,un grand film parmi les grands.

Publié par CAUVEL Tistan sur 27 Novembre 2019, 22:57pm

JOKER,un grand film parmi les grands.

Le film se déroule en 1880 à Ghotam city tombant peu à peu dans la misère, on suit l'histoire hors du commun de Arthur FLECK.

Travaillant dans une agence de clown payé à faible revenu, ce qui n'est pas étonnant car la plupart des habitants, à part les hommes de l'économie et les politiques, sont payés à un salaire équivalent voir plus faible. La pauvreté de Ghotam créé une haine et un laisser-aller de la part des habitants, n'hésitant pas à couler un proche afin de parvenir à des fins personnelles.

Pendant son service, il doit attirer des clients devant un shop et fait donc de l'animation avec la pancarte que lui a fournie son client. Malheureusement, il se fait voler la pancarte et attiré dans une ruelle où il se fait frapper juste pour le plaisir des agresseurs, bizarrement ce n'est pas le plus étonnant car les frappeur sont des adolescents et des enfants.

C'est à partir de ce moment qu’Artur et sa part de JOKER nous est vraiment montré. Il est atteint de troubles mentaux l'entrainant dans un rire euphorique sans pouvoir s'arrêter et dit voir une psychologue qui ne semble pas beaucoup l'aider à part en lui fournissent des médicaments l'aidant à se détendre.

Il habite seul avec sa mère qui est trop veille ou trop malade pour être autonome. Un de ses jours de travail, un collègue lui propose une arme pour qu’il puisse se défendre. Malheureusement, lors d’un spectacle à l’hôpital, il fait tomber son arme, ce qui engendre son renvoi. Il décide de rentrer chez lui dépité et exaspéré par la vie qu’il mène.

C’est alors que sur le trajet, dans le tram, il se retrouve seul avec une bande de banquiers ivres et au pire des moments, une de ses crises (rires) se déclenche et il commence à se faire moquer puis frapper. Prêt à en découdre, il sort son flingue et descend un à un les banquiers sans remord allant même jusqu’à en pourchasser un hors du tram.

Vu lors du crime sous son habit de clown, il devient un symbole pour les pauvres de liberté mais pour les riches de tueur, il a enfin une identité. Cependant, il commence à perdre les pédales lorsque le financement de la mairie pour sa psychologue et ses médicaments son arrêtés. Malgré tout, il trouve l’amour, sa voisine : Sophie Dumond même si elle a une petite fille et fait sons premier one man show. Mais durant la première blague, ce n’est pas le public qui rit mais lui à cause de ses crises.

 

Notre futur grand JOKER apprend que son père n’est autre que Thomas Wayne d’après sa mère. Alors il décide de prendre contact avec Thomas, mais prend connaissance qu’avec son majordome qui le chasse et surtout notre deuxième grande liaison avec les films de Batman : Bruce Wayne qui est le fils de Wayne. Ayant pour seule réponse, qu’il avait un frère.

En rentrant chez lui, il  découvre deux policiers venus poser des questions à sa mère pour obtenir des réponses par rapport à l’affaire du tram. Toutefois, ce ne sont pas les policiers qui vont en savoir plus mais notre FLECK, sa mère a fait un AVC pendant l’interrogatoire. Il se rend à l’hôpital avec sa charmante petite amie. Il rencontre sa mère dans un long et profond sommeil et voit aussi sont début de one man show à la télévision où il se fait ridiculiser par un des plus grands présentateurs télé.

Au cinéma, il y trouve son dénommé père et lui demande de revenir. Pourtant il se prend en figure physiquement et verbalement l’avis du milliardaire : il n’est pas son père car Arthur s’est fait adopter.

Avide de réponse, il part à l’asile d’Arkham où s’était fait interner sa mère. Son avidité sera récompensée ou plutôt battue par le savoir que sa mère l’avait vraiment adopté et délaissé à son conjoint inconnu qui le battait lui st sa femme.

Afin de régler ses comptes, il rend visite a sa mère qui étouffe l’histoire en disant que son “père“ avait falsifié les documents mais elle finit étouffer par son propre fils.

Las de ses problèmes, il va chez sa voisine pour recevoir de l’amour. Mais celle-ci est étonnée : sa “petite amie“ n’était en fait que l’image de son manque de médicaments : il ne lui a jamais parlé, il a, comme sa mère, mélangé son monde d’envie à ce monde de mépris.

Il désire plus que tout un changement, une revanche. Sa volonté a été entendue, notre JOKER reçoit un appel du présentateur télé l’invitant sur son plateau. Mais il veut avoir plus de changement et devient physiquement le JOKER. C’est alors que son maquillage terminé, il reçoit la visite de deux de ses anciens collègues dont celui qui lui a fourni l’Arme. Il comprend qu’il lui a fourni l’Arme afin qu’il se fasse virer. C’est alors que d’un sang-froid, il tue sauvagement ce fournisseur et laisse gentiment et calmement partir son autre collègue.

Une image contenant personne, homme

Description générée automatiquement

Durant son trajet vers le plateau “Live With Murray Franklin“, il rencontre les deux policiers et se fait pourchasser en passant à travers un train de manifestants à son effigie. L’un des policiers tue un manifestant, créant une haine indomptable plus forte chez les manifestants. Une fois arrivé sur le plateau TV, sous le maquillage de ce qu’il est physiquement et devient mentalement à grand pas un JOKER . Il expose devant les spectateurs donnant son avis sur la société de Ghotam et révèle le crime qu’il a commis auprès des banquiers. Et c’est là que sa revanche prend vit comme une balle enflammée atteignant la tête du présentateur en hurlant d’un bruit sourd “T'obtiens ce que tu mérites enc*** !“. C’est après cette mort que prend vit le renouveau et le JOKER, mais ne sont-ils pas qu’un ?

Maintenant, je vois la ville en flamme, je suis avec mon papa et ma maman, on sort du cinéma, il y a du bruit partout, plein de gens avec des masques de clown mais ce n’est pas marrant. On est derrière le cinéma, quelqu’un arrive, lui aussi porte un masque. D’un coup, j’entends comme si on avait hurlé des mots incompréhensibles mais non ça ressemble plutôt à des coups de feu. Je vois mes parents tomber au sol, il y a du sang, je lève la tête et le monsieur au masque est parti. Les parents WAYNE sont morts.

Moi, je suis dans un fourgon de flic car j’ai fait plein de bêtises, par exemple, je viens de tuer un présentateur TV. Une voiture nous percute, je ne vois plus rien, je n’entends plus rien. Ah si, j’entends du bruit, il fait chaud comme si il y avait le feu. J’ouvre les yeux, je reconnais, c’est Ghotam mais c’est différent, je me lève, on m’acclame, je suis enfin quelqu’un : Le JOKER.

Une image contenant bâtiment, clôture, extérieur, terrain

Description générée automatiquement

Pour moi, c’est un des meilleurs films de l’année car on s’attache au personnage et on subit le même ressenti que lui-même mais moins fortement. Chaque scène nous marque, on n’oublie pas sons vécu car Todd Phillips nous fait devenir le JOKER. Sauf à un moment : lors de l’émission, on est le spectateur, le même spectateur du plateau TV, celui qui sera inconsciemment la gâchette de cette arme.

JOKER est un film par lequel on peut partager son avis comme on peut ressentir de la haine. On se dit que ce n’est qu’un film, mais quand on regarde dans certains pays, on a des frissons c’est de l’envie ou de la peur, on ne peut pas savoir mais on peut agir, pas comme le JOKER, mais comme un être humain.

 

CAUVEL Tristan,2nd4

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